26.03.2009
Une journée en enfer avec Brasillach, Gaxotte, Blond, Rebatet, Cousteau, de Vaulx et notre Kleber Haedens municipal
Vous lisez cependant pour vous convaincre de l'antisémitisme inimaginable des "Je suis partout" dans lesquels publiait Kleber Haedens entre 1938 et 1940. Finalement, vous finissez par quitter la pièce et partez vomir les kilomètres de haine que vous venez de lire.
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Non, monsieur Juvin Philippe, maire de La Garenne-Colombes, médecin, chef d'un service des urgences, élu départemental, "proche de" Nicolas Sarkozy, il n'y a pas eu de bonne période pour écrire dans cette "merde" de Je suis partout.
Soit vous ne les avez pas lus, soit vous ne savez pas bien lire, soit vous avez vraiment tenté de prendre pour des sots les gens qui allaient "gober" ces salades.
Sans moi, sans nous, Monsieur Juvin Philippe.
Tentez de convaincre qui vous voulez du contraire si cela vous amuse encore et c'est la moitié de l'humanité qui vous considèrera comme un Williamson.
Affirmer que Kleber Haedens n'était pas un acteur consentant de l'antisémitisme qui conduisit au désatre, est un mensonge.
Je pèse mes mots.
Faire l'apologie de l'antisémitisme est aujourd'hui un délit. Vous pouvez encore dire que vous ne saviez pas qui était vraiment ce Haedens et demander pardon aux familles offensées par ce choix malheureux. Il n'est jamais trop tard.
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Avant la guerre déjà, le journal "Je suis partout" était devenu « quelque chose comme l'organe officiel du fascisme international » - de l'expression même de son rédacteur en chef depuis 1937, R. Brasillach.
A propos de Brasillach, (Ndlr : fusillé pour faits de collaboration, dénonciation de juifs et de résistants) : "depuis que Brasillach est mort avec tant de noblesse et de pathétique, son prestige n’a cessé de grandir". Kleber Haedens.
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Un extrait de page d'un des JSP dans lequel Haedens a sévi.
19:08 Publié dans Kleber Haedens | Lien permanent | Commentaires (19) | Envoyer cette note | Tags : garenne, colombes, je suis partout, juvin, brasillach