23.06.2009
Le journal "Présent" très clairement classé à l'extrême droite se désole aussi du départ de Kleber ...
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Le 6 février 1995, le quotidien "Présent" a organisé une réunion publique en l'honneur de Robert Brasillach, présidée par Maurice Bardèche.
13:39 Publié dans Kleber Haedens | Lien permanent | Commentaires (5) | Envoyer cette note | Tags : garenne, colombes, juvin, philippe, ump, extrême, droite, fn
Commentaires
Max, lui, se réjouit de la nouvelle : Kleber Haedens restera un écrivain pour happy few et son nom ne sera pas souillé d'avoir été donné à un triste édicule où des "enseignants" plus incultes encore que leurs élèves continueront leur œuvre de décervelage "citoyen".
Ecrit par : max | 23.06.2009
La recette du flan à la garennoise :
— Quelques militants improvisés ("enseignants", "animateurs", "mamans") en mal de fantasmes gratifiants (se vivre en "résistants" de l'an 2009).
— Un écrivain inconnu d'iceux qu'on charge de tous les péchés de l'histoire parce qu'il a été secrétaire de Maurras.
— Un vieux monsieur, qui a bien mérité de la France, mais qui est en quête, au soir de sa vie, d'une petite notoriété, et qui n'hésitera pas à prendre les morts en otage et à présumer de leurs opinions.
— l'exploitation de la bêtise de l'époque.
Et le collège Kleber Haedens devient le collège Grand Corps Malade (auteur irréprochablement citoyen, républicain, solidaire, divers, et certainement écocompatible).
Ecrit par : max | 23.06.2009
Max, quand on prend le pseudo de Max (aue), le célèbre SS Hauptsturmführer de roman et que l'on s'autoproclame fasciste sur des blogs comme vous le faite ici, on doit certainement avoir eu la jeunesse perturbée de son héros. On peut tout pardonner, tout excuser, de quelques sots qui ont souffert. C'est la vie.
Mais quand ces imbéciles dépassent les bornes, il ne reste plus qu'a prendre sa guitare et à chanter : quand on est con, on est con ... histoire de s'assurer qu'ils sont bien irrécupérables.
Quant au vieux monsieur, tâchez de ne pas le croiser dans les parages, après ce que vous venez d'écrire, il pourrait encore vous mettre un direct dont vous vous souviendriez longtemps.
Pas la peine de revenir, vous n'êtes plus le bienvenu. Nous avons cru un instant qu'il pouvait y avoir des fascistes sympathiques. Vous avez raison, nous avons, nous, tout faux.
Du balai, Max.
Ecrit par : Philbert | 23.06.2009
Mince ! un dîner en ville et j'ai raté Max !
Me vient l'envie de lui écrire sur son vrai mail à cette andouille...
Ecrit par : Paolo Grattez | 23.06.2009
Max, trop cher Max,
Vous n'êtes qu'un handicapé du lendemain, un angoissé de la page blanche, un névrosé de l'aube...
Pour vous il n'existe que d’hier qui chante. La nostalgie a remplacé en vous toutes les cellules et les synapses qui tournent un individu vers l'avenir.
Vous ne vous cherchez que des références passées, littéraires, artistiques, musicales, cinématographiques...
Votre esprit est en panne, comme figé dans la peur du renoncement de ce que croyez comme la forme définitive et aboutie de l'aventure humaine. Vos nuits sont pleines des portes restées closes dont l'histoire n'a pas voulu actionner la clenche.
Déterministe par essence vous souhaiteriez que la main de quelques uns guide le devenir de tous.
Vous ne balbutiez que quelques mots et comme le cancre jaloux de voir s'envoler son voisin de pupitre vous ne souhaitez rien d'autre que de l'abattre en plein envol.
Vous revendiquez la médiocrité pour tous. La haine de l’autre, de celui qui ne rend pas hommage aux ruines de votre passé, de celui qui a déjà fait sienne cette pensée lumineuse et qui bien plus que vous en exprime le sens.
Vous êtes l’anti-France…
Ecrit par : Paolo Grattez | 24.06.2009
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