La Garenne-Colombes : retour de Buzz

qu'il a demandé au Conseil général des Hauts-de-Seine, par souci d'apaisement (sic) de retirer le nom de Kleber Haedens du fronton du nouveau collège de La Garenne-Colombes. Apaisement, tu parles !

C'est gonflé ! A moins que ce ne soit pour apaiser les foudres qui lui sont tombées dessus de toute part...

C'est d'avoir proposé ce nom-là, oui, qui aurait créé des conflits sans fin. Un choix qui ne pouvait que dresser les communautés les unes contre les autres, la preuve.

Voillà un commentaire trouvé sous l'article de BilbioObs qui annoncait le retrait de ce nom ... l'auteur n'est pas un brute tout droit sortie de la tribune des Boulogne Boy, non, juste un libraire tout à fait respectable passionné de littérature... mais chez qui Haedens déclanche de drôles de pulsions ...

Je ne regrette vraiment pas d'avoir combattu ce choix.

Par Régis Penalva
12H05 03/07/2009

Le parent d'élève est

Le parent d'élève est définitivement l'idiot utile de notre temps. Procédurier, médiocre et pinailleur, gueulard et violent à ces heures, le parent d'élève bat les enseignants avant de les assigner en justice, conteste les redoublements et corrige les programmes, conteste le bien-fondé d'enseigner la philosophie en terminale, n'a que complaisance pour la bêtise de sa descendance, en laquelle il admire la sienne propre.
Le parent d'élève ne veut donc pas d'Haedens? Le parent d'élève préfèrerait sans doute Arthus-Bertrand, Michel Onfray, Muriel Barbery? Le parent d'élève à raison : son goût pour la pensée commode et le style pompier éviteront ainsi à Kleber Haedens d'annoblir de son nom illustre les rejetons d'une meute d'ignorants, d'imbéciles et de couards.

Ndlr : Regis Penalva qui disait à propos de Maurice Blanchot, compère de Haedens à L'Insurgé en 1937 :

"Revenu de ses errements politiques coupables d’avant guerre, l’auteur de Thomas l’obscur définit, de 1953 à 2003, un nouveau mode d’intervention politique, en marge de l’engagement sartrien."

PS : Jamais, jamais, Monsieur Juvin vous n'auriez du déclarer à la presse, sans doute par dépit, que ceux qui avaient combattu ce choix de Haedens avaient tenté de prendre des enfants en otage. Nous ne pouvons laisser dire cela et allons démontrer par A+B, pour ceux qui n'auraient pas encore bien compris, qui a tenté de prendre des générations d'enfants et de parents pour des proies idéologiques faciles.

D'ailleurs, le Conseil général dans sa grande sagesse ne se trompera pas lundi 6 juillet en votant, sans doute à l'unanimité, le retrait définitif de ce nom, Kleber Haedens. Haedens un journaliste, écrivain et critique littéraire dont vous aviez simplement dit en le proposant qu'il était né en 1913 et mort en 1976 et qu'il avait du talent ... Pas suffisant pour convaincre tout le monde !

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Amis de l'APELGC (voir le site) et de la FCPE, ne pensez-vous pas que nous avons eu raison d'arrêter là la plaisanterie ?