Avant la diffusion de ce reportage,les faits étaient déjà connus si l'on en juge par certains sites internet comme celui de Golias ou Rue89.La gravité des faits paraît difficilement contestable...au point que ça commence à s'agiter dans diverses sphères du pouvoir.Quelle est l'ampleur du phénomène?Elle paraît,de toute évidence,limitée à des groupuscules,de tendance néonazie(sous abri « catholique »,disposant d’une couverture catho)et ayant quand-même pignon sur rue.Mais il reste une question essentielle,primordiale,dans cette affaire,en mettant à part la question des citoyens eux-mêmes qui ne fréquentent ni ces "sectes" ni les lieux qui leur sont associés.Cette question est celle de l'attitude des pouvoirs publics.Là,évidemment,si on envisage la question sous cet angle c'est assez problématique pour ne pas dire un peu « gênant » ou « épineux ».Et,en même temps,c'est le coeur de la question.Quid de l'Etat français dans l'affaire du groupuscule dies irae,de son institution scolaire et des multiples liens sociaux nécessaires à leur prospérité,enfin plus exactement à leur développement(ou expansion comme on voudra)?Y-a-t-il encore un Etat en France?Si oui que font exactement ceux qui le dirigent?Peut-on penser que l’Etat français a joué le rôle de facilitateur en matière de formation de futurs « aryens » bien conditionnés ?Ou,si l’on veut dire les choses plus brutalement,a-t-il favorisé le développement du groupuscule néonazi dies irae ?On peut toujours se poser ces questions avant de se réveiller trop tard.Se réveiller trop tard = le vers est dans le fruit ou les infiltrés les plus dangereux ne se trouvent pas nécessairement là où l’on croit.On peut aussi s’estimer « heureux »de disposer encore,en France,d’une presse qui n’est pas totalement aux ordres :cela permet aux citoyens de prendre connaissance des faits.C’est déjà ça.Enfin,c’est encore ça.

Ecrit par : phénomènededérive | 02.05.2010

Vous en doutiez ? regardez combien à l'UMP sont passés par l'extrême droite (Ordre Nouveau, Action Française) ou ont des goûts littéraires qu'approuveraient les membres de D.I, il s'agit peut-être d'une dérive, mais au départ il y avait complicité et aussi duplicité, à force de jouer avec l'extrême droite, on finit par se brûler les doigts.

Ecrit par : Intégration de Lebesgue | 02.05.2010

Pour continuer le débat, je pense que nommer un collège du nom de Kleber Haedens, c'est aussi envoyer un petit signe à ces groupuscules et mouvements aux dérives anti-démocratiques et violentes assez inquietantes et ainsi, d'une certaine manière, les encourager a continuer dans cette voie.

Bien sur celui qui a choisi ce nom de collège s'en défendra, mais le doute est plus que permis sur ses réelles intentions homis bien sur la diffusion d'un certain esprit critique et la glorification de l'anticonformisme !!!

Chacun jugera la sincérité des propos et les justifications qui avaeint été avancé pour justifier l'injustifiable.

Ecrit par : horace | 02.05.2010