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30.12.2008

Mihi salem trade, quaeso ?

Le maire expliquait il y a peu sur son blog que Mihi salem trade, quaeso voulait dire en latin "Passe-moi le sel."

Une information capitale, vous en conviendrez ...

Pas de chance, alors que le même maire vole d'un plateau télé à l'autre pour dire que tout va bien à l'hôpital, voilà qu'un coup de gel arrive (très rare en hiver) et que les trottoirs et les rues de sa bonne ville manque cruellement de salage.

S'il manque de lit ce soir aux urgences pour cause de jambes cassées, ce sera de la faute à qui ? A Pelloux sans doute ...

Vive la politique, Mihi salem trade, quaeso ?

22.12.2008

Le COUAC : pas de nouvelle façade pour une banque de La Garenne-Colombes

 

20.12.2008, 07h00

Le Parisien

 

Philippe Juvin, maire UMP de La Garenne- Colombes et vice-président du conseil général, a refusé, hier, d’attribuer un permis de construire à une banque qui souhaitait rénover sa façade.

 

« Dans une période financière difficile comme celle que traverse la France, avec des banques devenues frileuses face à leur devoir de prêt, il ne me semble pas opportun d’autoriser une banque, déjà installée sur la commune, à dépenser de l’argent dans une nouvelle façade d’agence, explique l’élu.

Je souhaite que les banques, qui ont un rôle moteur majeur dans la survie et la pérennité des entreprises, respectent d’abord leurs engagements envers les citoyens avant de décider de dépenses superflues improductives. »

 

Le Parisien

 

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  • Dommage pour l'entreprise qui aurait pu avoir ce chantier !
  • Sur ce principe, pourquoi ne pas interdire aux élus les voitures de 3 litres de cylindrée ou les éclairages multicolores des bibliothèques municipales ?
  • On pourrait aussi interdire les attachés de presse particuliers, parce que pour lire de telles inepties dans le journal, autant se faire tout petit petit petit.
  • Souhaitant enfin qu'au principe de faire des économies, les annuels et coûteux voeux du maire soient réduit cette année à un pot dans la salle des fêtes avec du Champomi en guise de bulles.

Garennois, Garennoises, vos suggestions d'économies sont les bienvenues ...

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13.12.2008

Hommage du Club Acacia (site nationaliste) à Philippe Juvin (UMP)

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http://club-acacia.over-blog.com/

29.11.2008

Lancement du collège Kléber Haedens

Le maire UMP de La Garenne-Colombes – c'est suffisamment rare pour être souligné – s'est maintenu courageux face aux incessantes pressions et basses attaques de l'extrême gauche militante.

Philippe Juvin a posé officiellement la première pierre du futur collège Kléber Haedens de la commune, en présence de l'académicien Jean d'Ormesson.

La racaille gauchiste – où se retrouvaient politiciens du MODEM aux côtés des staliniens et des trotzkystes – s'était mobilisée à nouveau pour s'opposer à ce baptême. Ils n'ont pas hésité à entonné un chant exaltant le terrorisme.

Tout en atténuant ou polissant la biographie du grand écrivain français, Jean d'Ormesson et Philippe Juvin ont fait face aux censeurs.

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Ndlr : "Tout en atténuant ou polissant la biographie du grand écrivain français,..." cela veut dire quoi ???

Intrigués, nous sommes.

On savait Kleber Haedens d'exrtême droite, d'Action Française et secrétaire de Maurras. On sait qu'il a été un des rédacteurs du journal antisémite Je suis partout et qu'il buvait comme un trou, mais si en plus sa biographie a été atténuée et polissée ... dixit, ses admirateurs (déjà qu'elle avait été effacée de Wikipedia) , on va peut-être chercher à en savoir un peu plus.

Tiens, racaille gauchiste, le prochain terme à la mode en cours de récrée !

 

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Qui réhabilite un hussard ? Une mairie d'extrême droite : Orange.

http://www.jacques-perret.com/index.php?sujet_id=1012 

 

Le discours de M. Jacques BOMPARD, maire d'Orange 20.05.2006

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Chers amis,

Nous sommes réunis aujourd'hui pour inaugurer une nouvelle rue de notre bonne ville d'Orange. Depuis notre accession à la tête de la municipalité, en 1995, nous avons inauguré un certain nombre de voies nouvelles et à chaque fois, nous avons essayé de leur donner une dénomination en rapport avec notre histoire, notre culture locale ou nationale.

En inaugurant, ce samedi 20 mai 2006, la rue Jacques PERRET, nous avons le sentiment de faire un acte de gratitude envers un grand écrivain français mais aussi un acte de justice.

Car voici l'un des plus grands écrivains français de la deuxième moitié du XXème siècle qui, depuis l'attribution du Prix Interallié en 1951 et celui du Prince de Monaco dans les années 80, et mis à part le Grand Prix de la Ville de Paris, n'a jamais reçu aucune distinction ou hommage officiel pour son talent et la qualité de son oeuvre. Jusqu' à ce jour, aucune rue, aucune place, aucun square et, bien entendu, aucun collège ou lycée ne porte le nom de Jacques PERRET. A ORANGE, nous voulons aujourd'hui combler cette grave lacune et créer un précédent. Jacques PERRET est un Français, défenseur de son pays envers et contre tout et, surtout, à contre-courant des modes ambiantes et du trop fameux « vent de l'histoire ».

Patriote, Jacques PERRET l'est pour raisons de famille : par son éducation et par piété fraternelle pour son frère Louis, héroïquement tombé en 1916 dans les tranchées de l'Argonne. Jacques PERRET est volontaire en 1940 pour combattre dans les corps-francs, où il reçoit la Médaille militaire pour un fait d'armes exceptionnel que l'on ne manquera pas d' évoquer lors du colloque de cet après-midi. Il est ensuite fait prisonnier et s'évade de son Stalag au bout de trois tentatives d'évasions. Il raconte merveilleusement cette épopée dans Le Caporal Epinglé, adapté par Jean Renoir au cinéma. De retour en FRANCE, il rejoint les rangs de la résistance. Une aventure qu'il décrit dans un autre livre : Bande à Part, Prix Interallié 1951.

Après la guerre, il devient un écrivain de premier plan, aux côtés de ses amis que l'on a appelé les Hussards : Roger NIMIER, Antoine BLONDIN, Kléber HAEDENS, Jacques LAURENT mais aussi Albert VIDALIE ou Marcel AYMÉ. Des écrivains que nos médias et le grand public ont oublié, alors qu'ils ont rajeuni une littérature française qui semblait alors éteinte. Jacques PERRET écrit alors de nombreux romans ou recueils de chroniques dont je ne vous citerai pas la liste, mais que vous retrouverez également lors de l'exposition-colloque de cet après-midi.

Il est aussi un journaliste sportif apprécié. Ses articles dans L'Equipe sur le Tour de France ou sur le Rugby sont toujours très attendus. Vient le temps de la guerre d'Algérie. Jacques PERRET prend alors sa plume pour défendre les partisans du maintien de la France en Algérie. Ses articles lui vaudront plusieurs condamnations pour offenses au Chef de l'Etat qui lui fera retirer sa Médaille militaire. Je me souviens personnellement de ses admirables articles dans le journal L'Esprit Public, dont j'ai été un jeune lecteur et un fervent partisan. Son fils Jean-Louis sera emprisonné pour fait de patriotisme.

Merci à l'A.D.I.M.A.D. (voir le site) de le rappeler par sa présence aujourd'hui à cette inauguration.

C'est avec fierté que nous donnons le nom du grand écrivain Jacques PERRET à cette rue. Puissent les belles pages de ce talent français, inspirer les professeurs et les élèves de l'école qui se trouve en face de nous et qu'il en soit de même pour toutes les écoles de FRANCE.

Je suis également fier de vous dire que pour cette inauguration, nous avons reçu le soutien et le parrainage des académiciens Michel DÉON et Michel MOHRT ainsi que celui de mon ami Jean RASPAIL. Merci aussi à vous tous qui êtes présents aujourd'hui.  

Jacques BOMPARD

A lire :

Le système Bompard (L'Express)

Jacques Bompard, un facho débonnaire (Marianne2)

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12.12.2008

Elections européennes : Philippe Juvin, le maire UMP de La Garenne-Colombes n'était-il pas candidat ?

4ee318c55b6f0c885189ca8f6d5af7b3.jpgA l'UMP, voilà ce que l'on dit :

 « Les candidats ne manquent pas. Ce qui manque, ce sont les bons... » (Les Echos)

Voir l'acte de candidature dans la presse

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Haedens at-il contribué de façon éminente au développement des lettres ? Bof, dit Philippe Tesson

Le choix du nom de Kleber Haedens pour le futur collège était-il judicieux ? NON !

Kleber Haedens s'est-il illustré par des services exceptionnels rendus à la nation ou à l’humanité ou a-t-il contribué de manière éminente au développement des sciences, des arts ou des lettres ? NON !

Il s’avère qu’aux termes de la loi n° 86-972 du 19 août 1986

la dénomination, ou le changement de dénomination, est de la compétence de la collectivité de rattachement.  
La circulaire du 28 janvier 1988 précise néanmoins qu’il est traditionnellement admis que les témoignages officiels de reconnaissance doivent être réservés aux personnalités qui se sont illustrées par des services exceptionnels rendus à la nation ou à l’humanité ou par leur contribution éminente au développement des sciences, des arts ou des lettres.  

L’article L. 421-24 du code de l’éducation est complété par deux alinéas ainsi rédigés :
 
Toutefois, en cas de non-application de la loi ou d’abus, le ministre de l’éducation nationale peut intervenir pour s’opposer à la dénomination d’un établissement scolaire.
 
Dans les mêmes conditions et pour les mêmes raisons, le recteur de l’académie peut également s’y opposer.

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La réponse dans les billets ci-dessous :

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Pour ses meilleurs défenseurs c'est :

Jean d'Ormesson : Oui, Kleber Haedens était un écrivain d'extrême droite et il buvait beaucoup. Mais il n'a PAS collaboré (heureusement, me direz-vous ...)

Pour Philippe Tesson : Haedens a-t-il honoré la société ? Bof ...

Seul le maire UMP de La Garenne-semble encore lui trouver toutes les qualités.

Le jour de la pose de la plaque, où était les Patrick Devedjian, Isabelle Balkany et autres voisins comme le député et maire de Courbevoie, Jacques Kossowki ? Ailleurs ...

Reste donc un Bof ... qui résume à lui seul la profondeur du personnage.

Pour nous, tout a été dit : Kleber Haedens n'aurait jamais du être exhumé des poubelles de l'histoire.

L'avoir fait était une erreur. Persister à ce point dans l'erreur est une faute.

Sur ce, je vous salue et tire ma révérence.

Laissons maintenant les partisans de ce choix exprimer toute la profondeur de leurs convictions. Nous compilerons ... comme d'habitude. Pour l'instant à part l'extrême de l'extrême droite, pas grand chose à mettre au crédit de Haedens.

PhilBert et ses amis du collectif, Kleber Haedens, c'est NON !

 

11.12.2008

Desinformation à propos du collège Kleber Haedens


Vidéo visible sur le site du Conseil général 92.

Philippe Juvin, maire de La Garenne-Colombes et vice-président du conseil général, a dévoilé la plaque symbolisant la première pierre du collège Kléber Haedens, en présence de Jean d’Ormesson.
À l’extérieur, une vingtaine de personnes manifestaient contre le nom choisi pour le collège. « Kléber Haedens était un écrivain, un anarchiste de droite, un esprit libre, a déclaré le maire. L’Éducation nationale est là pour apprendre aux futurs citoyens à éviter le prêt-à-penser. Nous avons souhaité mettre en avant ces valeurs. Ce collège aura un internat de la réussite et des classes pour les élèves handicapés : il rendra des services consensuels.

Tant mieux si son nom (Kleber Haedens) peut bousculer quelques idées reçues. (Philippe Juvin, le 26.11.2008)

Un autre son de cloche ...


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Manifestation le même jour, même endroit.

Monsieur le maire, vous défendez la liberté de penser, défendez aussi la liberté d'expression, alors.

Osez publier le débat entre Philippe Tesson et Pierre Bénichou (Direct 8), osez publier l'avis éclairé de Pierre Assouline (La république des livres), osez publier l'extrait du journal de France 3 où l'on voit des garennois dans la rue.

Autant de points de vue qui laissent présager du pire pour la Garenne-Colombes.

Il ne suffisait pas de mettre en ligne sur votre blog les seules interventions d'un Jean d'Ormesson (ami de Haedens), d'un Etienne de Montety (auteur d'un livre sur Haedens) ou d'un Bercoff qui lit un papier comme d'autres récitent un "Pater noster", c'est à dire sans que l'on ait la certitude qu'il comprenne bien ce qu'il dit.

En pratiquant une censure de tout ce qui n'irait pas dans le sens que vous comptez donner à l'histoire de La Garenne, vous vous écartez un peu plus tous les jours de l'anticonformisme dont vous vous réclamez. Pourquoi cette obstruction quasi malhonnête. Pourquoi une vidéo municipale et pas le journal du soir ? L'un vous serait-il plus favorable que l'autre ? Pourquoi Bercoff et pas Assouline ? L'un serait-il  de gauche et l'autre de droite ? Pierre Assouline n'est-il pas une de ses personnalités du monde littéraire que vous reprochez à votre soi-disant opposition de n'avoir su avancer ? Pas UMP, Assouline peut-être ? Pas bon, alors... Binaire ... primaire, ai-je envie de dire.

La littérature est au dessus de la politique ! Baliverne. Alibi politique détestable, oui. Vous passez de droite à l'extrême droite, sans éprouver la moindre gêne (Je parle de littérature, bien sûr).

Kleber Haedens : la résurgence des années sombres

En commentaire du billet : "Prétendre qu'écrire dans Je suis partout ..."

Je cherche à savoir si "Je suis partout" avait une collaboratrice nommée Renée David, notamment pour les mots-croisés.

Michel Lambert 11.12.08

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Mr le maire,

Jusqu'où comptez-vous faire durer cette mascarade ?

Voulez-vous vraiment que La Garenne-Colombes devienne ce terrain d'affrontement digne des années 40.

Hommage à Louis-Ferdinand Céline par Kleber Haedens

http://louisferdinandceline.free.fr/

 

Il a vécu entre la misère et l'amitié

Le pauvre médecin est mort.

Aux premières pages d'un de ses premiers livres il se montrait lui-même dans sa maison de Meudon entouré d'un décor de fumées et d'usines, près du fleuve où passent les chalands.Après trente-cinq ans de métier, âgé de soixante-trois ans, médecin sans auto et sans bonne, il ne soignait que des misérables, ceux qui ne pouvaient plus voir personne parce qu'ils n'avaient vraiment pas un sou pour payer. Repoussé par ce monde, il aura vécu jusqu'à son dernier jour entre la misère et l'amitié.

Céline avait des amis et il en gardera toujours. Il s'agit pour lui de ces amitiés fondées, non pas sur des complaisances ou des services rendus, mais sur l'aération et la tendresse. On ne peut aller nulle part en France sans rencontrer des hommes, quelquefois blessés par le désenchantement de la vie, pour qui Céline représente ni plus ni moins que la création du monde. Le médecin de Meudon laisse en partant cette œuvre immense par qui tant de malheureux auront été éblouis et bercés.

On a voulu faire taire Céline

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Je suis partout du 21.07.1939

et tout récemment encore, une émission préparée par la Télévision française a été interdite à la suite d'on ne sait trop quelles protestations médiocres. Mais voici qui est admirable. Toutes les puissances du jour se liguent contre l'homme seul qui se tient encore debout, un peu par miracle, le dos au mur de sa maison, entre sa femme, ses paperasses, ses clochards et ses chiens.

Il suffit que cet homme meure pour qu'il apparaisse aussitôt, dans la plus claire évidence, qu'avec toutes leurs associations, leurs mots d' ordre, leurs mains sur le cœur, leurs indignations calculées et leurs têtes obliques, les puissances liguées ne sont rien. Pitié pour les puissances liguées ! Depuis ce matin, la voix de Céline les écrase. Cette voix formidable que l'on a voulu étouffer sous les cendres et qui va résonner jusqu'à la fin des temps.

Le Voyage au bout de la nuit et Mort à crédit retentissent du plus grand cri qui ait jamais été poussé au nom de la misère des hommes. Auprès de Céline, tous les écrivains réalistes ou naturalistes qui se sont, comme on dit, penchés sur le peuple en prenant des notes n'ont que des figures d'hommes de lettres et leur œuvre ne sort pas des limites assez tristes d'un simple travail de bureau.

Il faut dire que Céline était bien autre chose qu'un réaliste. Il allait sur des chemins sombres, portant des visions fantastiques dans sa tête, créateur prodigieux de livres qui partaient d'une rue ou d'un passage et de quelques figures déshéritées, pour s'élever d'un mouvement irrésistible jusqu'aux dimensions de l'univers.

Sous la pression du souffle de Céline, les formes classiques de la littérature et du monde volaient en éclats. Le vocabulaire et la syntaxe se retrempaient dans toutes les fièvres de la vie, Céline donnait l'impression d'avoir oublié les siècles et de se retrouver, comme Rabelais, à la jeunesse du langage. Un fleuve énorme et inconnu commençait à couler sous un ciel d'orage, traversant les villes fameuses, Paris, Londres, Berlin, fumant dans la brûlante Afrique avant d'aller se geler dans les steppes sous la lumière froide du petit matin.

L'œuvre de Céline restera dans ses moments forts comme la plus grande épopée populaire qu'aucune littérature ait jamais pu créer.

Elle a inventé un monde presque fabuleux où l'on entend la terrible musique de notre siècle, où la réalité la plus nue, demeure toujours présente, où le Petit Poucet est désormais le mince enfant des faubourgs où les remorqueurs sur les rivières et les cheminées des usines remplacent les tapis volants et les forêts des contes, où le rire le plus violent et le plus amer qui ait jamais frappé les oreilles des hommes éclate à chaque page, se mêlant à la rumeur du monde, s'arrêtant parfois pour nous faire entendre un air délicieux de mélancolie.

Le docteur Destouches a donc terminé son voyage au bout de son étrange nuit.

Pour Céline et pour son œuvre, ce qui maintenant commence porte un très beau nom, disait Giraudoux, cela s'appelle l'aurore, une de ces aurores qui s'ouvrent doucement pour l'éternité.

Kléber HAEDENS, Paris-Presse, 5 juillet 1961.

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- "Les juifs, racialement, sont des monstres, des hybrides, des loupés tiraillés qui doivent disparaître. […] Dans l’élevage humain, ce ne sont, tout bluff à part, que bâtards gangréneux, ravageurs, pourrisseurs. Le juif n’a jamais été persécuté par les aryens. Il s’est persécuté lui-même. Il est le damné des tiraillements de sa viande d’hybride."

L-F Céline L'Ecole des cadavres, p. 108, novembre 1938

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