31.12.2010

Bon réveillon et soyez prudent !

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29.12.2010

10,04 % de logements sociaux à la Garenne. Il va falloir importer des "nounous" !

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La loi SRU – qui impose aux villes un seuil minimum de 20% de logements sociaux est loin d'être appliquée dans toutes les villes du département. Cette loi qui devait favoriser la construction de logement sociaux est , dans de trop nombreux cas, contournée et violée avec l’assentiment du pouvoir en place.

En effet, 14 villes des Hauts-de-Seine sont encore hors la loi : Neuilly 3,58% de logements sociaux, Vaucresson 4,46%, Marnes la Coquette 6,61%, Ville-d’Avray 5,93%, La Garenne-Colombes 10,04%, Sceaux 12,67%, Boulogne-Billancourt 12,17%, Saint-Cloud, 14,79%, Asnières 17,36 %, Levallois-Perret 17,37%, Bourg-la-Reine 17,43%, Bois-Colombes 18,95%, Antony 19,13%, Chaville 19,90%... Ces villes doivent participer à la solidarité nationale et départementale par la construction de logements sociaux dans leur commune afin de répondre aux besoins et notamment à la demande de près des 100 000 Alto séquanais.

La loi SRU oblige à construire 20% de logements sociaux par rapport au nombre de résidences principales. Or trop de maires, le plus souvent de Droite, préfèrent payer l’amende dérisoire infligée aux communes contrevenantes plutôt que de respecter la loi de la République.
Maires de communes en général aisées, ils refusent la mixité sociale, dont leur commune pourrait portant bénéficier, pour des raisons bien souvent électoralistes.
Force est de constater que, dans ces cas, les préfets pourtant tenus à faire appliquer les loi se gardent d’intervenir. Si cette situation scandaleuse nous révolte, elle ne nous étonne pas.
La spéculation immobilière à laquelle nous assistons avec la flambée des prix et des loyers privés en est la conséquence.
La France manque de 900.000 logements sociaux.
Pour faire face aux besoins il serait nécessaire d’augmenter de façon significative le pourcentage de logements sociaux pour atteindre et respecter au moins les lois SRU (20%) et DALO.

28.12.2010

Si impossible n'est pas français, "Possible" n'est pas UMP non plus ...

 

Les Créateurs de possibles bientôt fermés par l'UMP


Le "réseau citoyen" de l'UMP, dont Jean-François Copé dit le plus grand mal, pourrait mettre la clé sous la porte dès la mi-janvier.

650 000 euros de mise en service, 300 000 euros de fonctionnement annuel, 150 000 euros de communication, 50 000 euros pour l'animation, autant pour la modération, en tout 1,2 millions d'euros (selon un rapport interne) engloutis en douze mois pour à peine 16 000 inscrits - dont un pourcentage difficile à établir de farceurs antisarkozystes: comme le fait ostensiblement savoir Jean-François Copé depuis qu'il a repris les rênes de l'UMP, le "réseau citoyen" du parti majoritaire est un "échec retentissant" (et l'un des dix ratés politiques de l'année pour LEXPRESS.fr).


Lancé par Xavier Bertrand, alors secrétaire général du mouvement, en janvier dernier, les "Créateurs de possibles" sont nés sous une étoile capricieuse. Plusieurs mois de retard à l'allumage (initialement prévu en juin 2009), les bugs à répétition, des chiffres d'audience symboliques, malgré une réhabilitation plutôt réussie du site officiel de l'UMP et une marraine ad hoc, Nathalie Kosciusko-Morizet... le site ne s'est jamais remis de ces premiers ratés ni des quolibets qui, dans la blogosphère, ont accompagné sa naissance. Benjamin Lancar, le président des Jeunes populaires et cheville ouvrière de l'opération, avait pourtant bien fait les choses en exigeant de ses responsables d'antennes locales qu'ils adhèrent, sous peine de licenciement...  
Ce n'est pas la pertinence des groupes de réflexion engagés, pas plus que leur fréquentation, qui devrait faire changer d'avis le nouveau patron du parti. A peine 600 inscrits pour le plus populaire, "responsabiliser les parents d'enfants qui ne sont pas assidus à l'école", 500 pour "soutenir Nicolas Sarkozy", moitié moins pour "l'installation automatique de panneaux solaires sur les nouveaux bâtiments publics" ou "la réforme des collectivités territoriales". Les mauvais-plaisants ont fait le calcul: 1,2 millions d'euros pour 15 000 inscrits, c'est une dépense de quelque 80 euros par membre. Quand Facebook fait le même travail gratuitement. En bien mieux. 
La nouvelle direction de l'UMP ne veut pas trainer: selon le Parisien de dimanche, le projet devrait être incinéré dès la mi-janvier, et le site rendu inaccessible à la même date. Seule consolation pour les "Créateurs", leur concurrent de gauche, la Coopol du PS, est lui aussi un succès très relatif - 2500 groupes, 32 000 membres, mais pour un budget de lancement deux fois moindre et un budget de fonctionnement sans commune mesure... Comme l'écrivait David Abiker dans L'Express, en février dernier, à propos des ambitions numériques des partis politiques, il n'y a vraiment "pas de quoi fanfaronner".

potssible.jpgNotre ami Le Pot(ssible) Rouge (voir son site) ne s'y était pas trompé en sachant Benjamin Lancar (grand fan de Pierre Laval) aux commandes.

 

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25.12.2010

C'est décidé : on reveillonnera à Roissy 2

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24.12.2010

Joyeux Noël à tous et bonnes fêtes

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23.12.2010

Pendant les vacances du Buzz ...

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20.12.2010

Extrême France : Les mouvements frontistes, nationaux-radicaux, royalistes, catholiques traditionalistes et provie ...

 


Pro France.jpgPar-delà l'expression électorale classique de l'extrême droite qu'est le Front national, les nostalgiques d'une France d'antan forment une nébuleuse qu'on pourrait appeler " l'Extrême France ". Cette Extrême France incroyablement diverse, organisée, parfois fanatique, juge le présent décadent et ne rêve que d'un passé " idéal ". Elle est active, très organisée, et irrigue profondément nos mouvements politiques traditionnels. Cet essai hors du commun révèle une France méconnue. Après des années d'enquêtes de terrain, d'entretiens, de rencontres, et en s'appuyant sur le décryptage de plus de 20 000 mobilisations, Fiammetta Venner a classifié cette Extrême France en cinq familles : les frontistes, les nationaux-radicaux, les royalistes, les catholiques traditionalistes, les pro-vie. L'auteur nous fait découvrir, de l'intérieur, ces groupes minoritaires mais inquiétants : commémorations en l'honneur de Pétain ou de Louis XIV, commandos contre l'avortement, opération de soutien aux Serbes, campagnes contre le blasphème, soirées skinheads, repositionnement du Front national, tout est soigneusement recensé et expliqué. Chaque " famille " est analysée en profondeur : objectifs, méthodes, pouvoir réel, réseaux d'influence, chants, sites internet, journaux, librairies. Grâce à ce travail rigoureux et inédit, Fiammetta Venner nous livre la radiographie d'une " certaine idée de la France ". Un livre de référence, fondé sur la thèse de l'auteur, soutenue à l'IEP de Paris sous la direction de Pascal Perrineau.

 

Broché: 518 pages
Editeur : Grasset & Fasquelle

EUR 21,50

 

19.12.2010

Le jeu des questions orales : "une machine à claques" bien rôdée.

On peut lire actuellement sur plusieurs blogs Garennois la publication des questions orales (pas des réponses) posées lors du dernier conseil municipal par les élus de la liste "Energie neuve pour La Garenne". Pour ceux qui l'auraient oublié, c'est-à-dire tous ceux qui ne suivent pas la politique de près, "Energie neuve pour la Garenne" est le nom de la liste "de Gauche" présente aux élections municipales de mars 2008, une éternité pour la mémoire du citoyen lambda.


Le principe des questions orales est "une machine à claques" pour deux raisons :


question.jpg- Les questions orales sont des questions posées oralement lors du conseil municipal et qui réglementairement doivent avoir été soumises à l'avance à l'assemblée. Autant dire que les réponses du maire sont évidement pesées, calculées pour botter évidement en touche, voire pour dire tout le mal qu'il pense de ceux qui ont eu l'outrecuidance de poser de telles questions. Il ne s'en prive jamais, c'est la règle du jeu.

- Quant aux réponses aux questions, bien sûr elles ne sont pas publiées ou le sont de manière si confidentielle qu'elles sont de toute façon invisibles pour la population.

Résultats nuls garantis !

C'est dommage car les questions sont toujours fondées et intéressantes : syndicat intercommunal, local de la Croix Rouge, convention avec l'UNICEF promise par le maire à la signature mais jamais signée, réaménagement du marché des Vallées, nouvelle organisation des services municipaux, pour ne citer que les questions du dernier conseil… Autant de sujets repartis aux oubliettes sitôt le conseil terminé puisque repris nulle part.

Combien de fois faudra-t-il le dire, les sujets qui nous tiennent à cœur en particulier les réponses aux questions qu  ont besoin d'être posées doivent être publiés ailleurs que dans la sphère municipale, car là, on se moque tout simplement de vous.
Si on pose des questions, au moins, assurons-nous de donner aux réponses le sort qu'elles méritent ou adressons-nous à la presse où là, il est possible de poser les réponses et faire les réponses.

Surtout quand il n'y a pas de réponse de la mairie…

Vous connaissez tous Maurice, nous vous présentons maintenant "Robert" ...

Robert.jpgRobert, comme nous, s'oppose à la politique menée par la majorité municipale et en règle général applaudi des deux mains et des deux pieds quand ici ou ailleurs on secoue un peu.

Mais Robert, s'il est sympathique (comme Maurice, d'ailleurs) il a quand même quelques travers :

- On peut d'abord lui reprocher d'être surtout un spécialiste du huis-clos, un ténor de la contradiction, certes mais qui malheureusement n'a que très peu d'échos puisque là où il parle il n'y a ni micro ni caméra et encore moins de journaliste. Quant à l'usage d'Internet, c'est encore pour lui, on peut le dire une technologie du futur. Donc, bien sûr, son efficacité en tant qu'opposant s'en ressent. Et si on lui reproche gentiment, il se fâche.

- Robert est aussi quelqu'un qui aime rire, mais pas de tout. Il a l'humour sélectif. Autant il apprécie l'humour bien vache dirigé contre ses propres cibles, autant il ne rigole plus, mais alors plus du tout si par malheur, un mot ne lui plait pas quand il s'agit de son camp. Dans ces cas là, danger. Il sort le bazooka sans avoir essayé de comprendre la subtilité du message.

- Enfin Robert, on peut le dire est aussi assez sectaire. S'il tire pour un camp, pas question d'admettre que ce camp ne fait pas forcement l'unanimité. Hors sa bannière, point de salut. Robert se trompe quand même un peu, tout n'est pas tout blanc ou tout noir dans la vie (ou orange, vert, rose, bleu ou rouge). Il faudrait qu'un jour il s'en rende compte. On reconnait Robert à ses lunettes colorantes qu'il n'enlève jamais, même pas pour dormir. Il devrait de temps en temps, au moins quand il parle à ses partenaires.

Chacun d'entre nous a son Robert. Vous avez sûrement les votres et on parle peut-être des mêmes.

Voilà, amis lecteurs, vous connaissiez nos amis les Maurice à qui on a rétréci la tête, vidé le cerveau et cousu les lèvres (ce qui faisait beaucoup rire Robert), vous connaissez maintenant Robert à qui il ne faut surtout jamais demander d'enveler ses lunettes (ce qui fera sans doute beaucoup rire Maurice).

Ambiance au prochain conciliabule des Maurice et des Robert !

PhilBert

 

 

ATTENTION : chaussées et trottoirs glissants !

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Hier un grand noir tout en jaune, armé d'un sachet de 10 kg de sel fin appliquait à la lettre le PLAN NEIGE municipal.
Mais attention quand même, ça glisse !

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