La Garenne-Colombes : retour de Buzz (suite)

Une stratégie qui consiste à décrédibiliser son "accusateur" pour tenter de sortir les fesses propres d'une sale affaire ...

Premier épisode : La mairie reçoit en août le texte de la tribune libre de Christophe Conway (Modem) à être publiée dans le bulletin municipal de septembre.

Crime de lèse-majesté, il dénonce un acte une légèreté coupable.

Laquelle ? Voir ci-dessous (en savoir +)

Deuxième épisode : Les avocats amis politiques de l'accusé fouillent la merde le passé de l'accusateur et décident d'attaquer violement l'employé le conseiller Conway sur un point qui pourrait faire mouche au sein de l'électorat catholique : ses mensonges en entrant dans le pays son refus de dénoncer les propos d'une de ses colistières. L'équipe municipale ayant maintenant en main le rapport d'enquête les tribunes libres de l'opposition, à elle d'utiliser son espace de parole pour faire la basse besogne. Lire ci-dessous la tribune signée de l'adjoint au(x) culte(s), Yves Perrée (UMP).

Troisième épisode : Pas vraiment besoin de procéder à une contre-enquête, la manoeuvre est aussitôt déjouée et fait pschitt plouf. Yves Perrée est pris en flagrant délit de malhonnêté ! Christophe Conway n'a pas menti en entrant dans le pays n'est en rien responsable des propos de sa colistière pour la bonne et simple raison qu'elle n'a plus rien à voir avec lui depuis des lustres. Il n'avait donc aucune raison de dénoncer ou de soutenir tel ou tel de ses propos, ce n'était pas son problème. Les preuves ne manquaient pas, elles s'étalaient même sur les panneaux électoraux en mars 2011. La colistière en question était, un comble, en mars dernier l'adversaire EELV/Cap 21 de Christophe Conway (MoDem) lors des cantonales 2011. Il fallait habiter sur une autre planète pour ne pas le savoir.

Et feindre de ne pas le savoir en mairie c'est vraiment faire preuve encore une fois de légèreté coupable, si vous nous permettez de reprendre l'expression.

La mauvaise foi, la tromperie est évidente.

Epilogue : en cours délaboration. On doit sérieusement réfléchir en mairie à comment sortir de ce bourbier.

L'adjoint aux cultes passera-t-il à la confesse ou plaidera-t-on Alzheimer ou mieux encore, une anosognosie ?

Vivement la suite...

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PS (post scriptum)

Notre ami le PotRouge.com est sacrément réactif ! Voici SON résumé de l'affaire" :

Questions sur le financement du parking place de la liberté ...

La tribune libre de la majorité municipale publiée dans la Garenne-infos de septembre a beaucoup fait parler d'elle hier dans les différentes salles du forum des associations...

Nous reviendrons plus en détails sur les diverses réactions dans les jours qui viennent.

• Premier constat : l'auteur est-il bien le signataire ? Tout le monde y va de son analyse. Très amusant mais pas flatteur quelque soit le cas de figure.

• Deuxième constatation : les objectifs d'un tel torchon ? Là tout le monde est unanime : il fallait que la majorité régle son compte à l'élu Modem. Pourquoi ? Eux seuls le savent.

Pauvre France ! Elle n'est pas gâtée avec des politicards de cet acabit.

Quel est le prix immobilier au m² pour vendre ou acquérir un appartement ou une maison sur La Garenne-Colombes (92250) ?

Les prix des appartements et maisons sur La Garenne-Colombes n’ont pas subi une chute brutale.

La Garenne-Colombes a bien tenu grâce à une proximité parisienne et de La Défense.

Le tarif moyen au m² pour acheter une maison sur La Garenne-Colombes s’élève à 4980 euros hors prix du terrain.

L’achat d’un appartement ancien sur La Garenne-Colombes reviendrait au prix de 4320 euros le m² en moyenne selon les évaluations des agences immobilières locales.

L’acquisition d’un studio sur la ville de La Garenne-Colombes d’une surface habitable de 25 mètres carrés pourrait se négocier au prix de 71 000 euros hors travaux,frais notariés et frais d’agence.

Les quartiers les plus intéressants sur La Garenne-Colombes sont :

- Les Champs-Philippe,

- Les Vallées,

- Le quartier Nord.

Le loyer moyen sur La Garenne-Colombes pour louer un appartement s’élève à 14 euros le mètre carré.

Un investissement locatif sur la commune de La Garenne-Colombes pourrait s’avérer un très bon placement immobilier sur le long terme grâce à la proximité du Quartier d’affaires de La Défense.

Source : http://www.rachatducredit.com

NDLR : pourquoi alors la SEM92 s'évertue-t-elle à proposer un prix au M² parfois proche de 2.000/2500 euros aux propriétaires des Champs-Philippe faisant l'objet d'une procédure d'expropriation (voir article du Parisien du 30.09.2010) ? Comment voulez-vous que ces gens-là retrouvent un logement équivalent à proximité de l'endroit d'où ils ont été "chassés". Je croyais que dans le cas d'expulsion-expropriation le dédomagement devait être "juste". C'est quoi juste sur la commune de La Garenne-Colombes ?

Hier après-midi, plusieurs habitants de La Garenne-Colombes se sont retrouvés devant le juge des expropriations au TGI de Nanterre.
Face à eux, la société d’économie mixte des Hauts-de-Seine (SEM92), qui doit racheter leurs logements pour y construire la ZAC des Champs-Philippe, un nouveau quartier inclus dans le périmètre de La Défense élargie. « La SEM propose des prix très largement inférieurs à ce que valent des pavillons équivalents, de l’ordre de 30 à 40 % », s’étrangle René Legoff, président de l’association UEV, Urbanisme-Esprit Village à La Garenne.
Au final, c’est le juge qui devra fixer le prix de vente. Au cours de l’audience, très technique, il est question de mesurage, de coefficient de pondération, de calcul… « Le pavillon de M. et Mme K. a un certain cachet, il est pittoresque, l’état est impeccable, il y a un grand terrain et une rue calme », martèle un avocat. Objectif , convaincre la juge que la demeure de ses clients vaut 3 600 € le mètre carré.
La SEM évoque quant à elle 2 600 € et le commissaire du gouvernement en propose 3.100… Dans la salle, le couple a le visage tendu. « La SEM nous a contactés il y a un peu moins d’un an, se souvient Antoine.

Je ne demande pas la lune. J’espère juste toucher de quoi racheter quelque chose d’équivalent : un pavillon et 300m2 de terrain à La Garenne. Avec ce que propose la SEM c’est impossible. » « Il n’y a qu’un acheteur possible, la SEM 92.
Cela empêche d’avoir des prix sincères, estime son avocat, Me Gilles Caillet.

Au total, 50 familles sont concernées.
En face, la SEM se défend de tirer les prix vers le bas. « Nos propositions s’appuient à la fois sur les estimations faites par France Domaine et sur notre connaissance du marché immobilier de La Garenne-Colombes », précise Hervé Gay, directeur général de la SEM 92.
Les magistrats rendront leur délibéré début novembre.

O.B.

Source : Le Parisien 30 septembre 2010

Qu'il fait bon d'être fils de dans la France d'aujourd'hui… Jouissant déjà de passe-droit en étant relâché par la police, le fils du Directeur général de la police nationale bénéficie également d'un silence de plomb de la part des médias. Pire certains journaux n'hésitent même pas à ériger Péchenard père en victime. Mais pour quelles raisons ? Il faut s’y faire, on peut de plus en plus souvent mesurer l’importance d’une information ou d’une affaire à la faiblesse de leur traitement par les médias, voire à leur escamotage total.

La volonté de ne pas savoir, de ne pas s’indigner et de laisser filer des faits objectivement énormes nous en apprend plus sur l’état de la société et de la moralité publique que ces fausses informations ou polémiques sans importance montées en mousse et qui saturent les ondes et les écrans. Le silence en dit parfois plus que la cacophonie.Ainsi en est-il de l’incroyable non-affaire Péchenard. Le Parisien a consacré la semaine dernière deux pages entières à cette histoire qui a fait « pschitt » dans les médias, alors qu’elle a scandalisé bien des lecteurs du quotidien. Nous apprenions en effet qu’en février 2009 le fils (16 ans) du Directeur général de la Police nationale (nommé à ce poste par son ami d’enfance Nicolas Sarkozy) a été contrôlé en état d’ébriété après avoir fait le zouave avec son scooter sur le trottoir des Champs-Élysées. Le fils à papa a alors injurié un policier en le houspillant : « Tu fais qu’un métier de con, je vais te muter à la circulation ! », « Je vais t’exploser, t’es qu’une merde ! ».

Nous venons de l'apprendre, le Dr. Max Catrin, maire de la Garenne-Colombes de 1975 à 2001 vient d'être victime d'une attaque maligne et sérieuse.

Rassurez-vous quand même, il est en bonne santé et pourra très certainement compter sur de nombreux garennois en ces moments difficiles.

Voilà comment c'est arrivé : subitement comme toujours, évidement.

Des amis du Docteur Max Catrin, ancien maire de la ville et ancien Conseiller général du canton de la Garenne-Colombes avaient sans doute voulu lui faire plaisir en lui consacrant une page sur l'encyclopédie en ligne, Wikipedia. Une page de mémoire en quelque sorte qui s'enrichissait petit à petit des informations glanées ici ou là à partir de son riche parcours.

Mais voilà, un vilain parasite passant par là a entrepris son oeuvre de destruction et a demandé la suppresssion de la page de Max Catrin.

L'horrible processus est en cours et nous avons jusqu'au 11 septembre pour lui apporter soutien et réconfort avant disparition totale de la page mémoire de l'ancien maire.

Garennois, et en particulier ses anciens collègues de la mairie, vous pouvez intervenir en vous connectant sur Wikipedia et en venant plaider pour que cette page d'histoire de la Garenne demeure. Rendez-vous à l'adresse suivante :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Catrin