La Garenne-Colombes : retour de Buzz (suite)

Débat sur la laïcité : les représentants des principales religions expriment leurs réserves

Les représentants des principales religions pratiquées en France ont signé un texte dans lequel ils enjoignent au gouvernement de renoncer au débat sur la laïcité. Réunis au sein de la Conférence des responsables de culte en France – la CRCF, récemment créée –, des représentants des bouddhistes, des catholiques, des juifs, des musulmans, des orthodoxes et des protestants demandent à l'exécutif de "ne pas dilapider ce précieux acquis" qu'est la laïcité. "Il nous paraît capital, pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation", écrit la CRCF.

Cette première prise de position publique sera diffusée mercredi 30 mars, mais l'intégralité du texte a été diffusée par Le Parisien mardi soir. Louant la "laïcité à la française" et espérant que "le facteur religieux soit un élément de paix et de progrès", la CRCF estime que l'"accélération des agendas politiques, à la veille des rendez-vous électoraux importants" risque de "susciter des confusions qui ne peuvent qu'être préjudiciables".

"Faut-il dans le contexte actuel un débat sur la laïcité ?" se demandent les responsables religieux. Ils reconnaissent la nécessité des débats, qui sont des signes "de santé et de vitalité", et citent les nombreux lieux où sont débattues les questions relatives à la laïcité. "Un parti politique, fût-il majoritaire, est-il la bonne instance pour le conduire seul ?" interrogent-ils. "Le devoir de ceux qui sont 'en responsabilité' consiste à éclairer le chemin et à élaborer des solutions conformes au bien de tous. N'ajoutons pas de la confusion dans la période trouble que nous traversons. Nous militons ensemble pour une laïcité de bonne intelligence", concluent-ils.

Le Monde.fr

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Eric Zemmour, un intellectuel ?

Vérifiez bien que vos montres sont à la bonne heure. Ce matin à trois heures il était en réalité deux heures (heure d'été).

Et dites-vous que c'est valable pour tout le monde, même pour ceux qui cranent avec leur Rolex.

Le Modem de La Garenne-Colombes (Christophe Conway) se plaint qu'au lendemain du premier tour des élections Cantonales, certains (ndlr : il n'est pas dit qui sont ces certains) font circuler des bruits sur la position du MoDem pour le deuxième tour (ndlr : la nature des bruits n'est pas précisée non plus).

Afin, dit Christophe Conway de contrer cette grossière tentative de désinformation (Ndlr : laquelle exactement, on ne ne sait pas ?), le Modem garennois a donc publié jeudi par une note intitulée "explications d'entre deux tours" un complément d'information visant à préciser sa position.

Une position qui pour nous, au buzz était parfaitement claire et que nous avons critiquée, pour l'avoir bien comprise, dès mardi.

Nous la redonnons ici dans son contexte originel :

Nous (le Modem) vous laissons maîtres de votre choix et nous n’apportons pas un soutien total à Christophe Macé. Nous restons critiques sur certaines de ses positions tant sur le fond que sur la forme : outre nos divergences sur la vision politique, il reste en effet marqué par son rôle d’opposant systématique, reflet des travers du parti socialiste dans notre département …/… nous n'émettrons (au Modem) aucune consigne de vote mais simplement une orientation (Ndlr : une orientation c'est quand même un peu une consigne …) : un vote par défaut pour Christophe Macé (PS) ou un vote blanc malheureusement non pris en compte.

A l'exception du blog Plum'Garennoise qui s'est exprimé aussi sur le même sujet avec son œil critique habituel mais sans avoir, il nous semble dit autre chose de la position du Modem que ce qui avait été dit par le Modem lui-même, nous n'avons pas lu d'autres informations sur le sujet qui pourraient s'apparenter de près ou de loin à une grossière tentative de désinformation. Si de tels écrits existaient, que les représentants du Modem veuillent bien nous les indiquer afin que nous les dénoncions.

Pour notre part, très sincèrement (mais nous ne lisons pas tout et ne sommes pas non plus derrière chaque pilier de bar pour entendre ce qui pourrait se dire) de tentative grossière de désinformation, il n'y a eu que dans l'imagination de gens qui n'apprécient pas que l'on critique leur choix.

Etonnant quand on se rappelle comment le Modem dénoncait la majorité municipale quand elle criait au mensonge et à la désinformation alors que le Modem avec le reste de l'opposition critiquait avec justesse le choix de Kleber Haedens.
Il ne faudrait pas qu'à son tour le Modem garennois singe les méthodes que l'on sait aujourd'hui totalement éculées des gens de mauvaise foi que le Modem combattait il n'y a pas si longtemps.

Bref, ceci étant dit, tout cela nous éloigne des véritables préoccupations des électeurs. Des électeurs qui sont plus soucieux de choisir dimanche et sur de bons arguments "le bon futur conseiller général" de La Garenne-Colombes qu'ils ne sont intéressés par les explications alambiquées d'un parti politique très minoritaire qui a choisi collégialement de ne finalement pas participer au débat dans la ville. En clair, de la position du Modem qui encore une fois ne sait pas choisir son camp, le garennois se moque et nous aussi.

Next !

Direct Matin 23 mars 2011 Page 8

Rien, que dalle depuis quelques temps, même et surtout pour ne rien dire. Mais que ce passe-t-il ?

Est-ce parce que même la section UMP de la Nièvre (58) et viefemme.com n'ont pas repris le dernier communiqué de leur champion ?

Toujours est-il que nous avions parié 10 euros sur le fait que personne ne le reprendrait. Nous avons gagné !

Pourtant, nous qui avons désormais bien compris comment marchait la machine à communiqué de presse municipalo-européenne de Philippe Juvin, on se disait qu'avec les élections, la montée du FN, la catastrophe naturelle au Japon, l'arrivée du printemps, la Libye, la fin de la première section des travaux du trottoir d'en face la pharmacie de la rue de l'Aigle il y aurait eu matière. Et bien non, que dalle ... Attendons encore un peu avant de lancer une opération de secours.