La Garenne-Colombes : retour de Buzz (suite)

Il fait porter par porteur spécial un mètre de chantier (5m) muni d'une lampe torche incorporée et d'un calculatrice (bref un superbe gadget de merde chinois)... en même temps qu'un plateau repas aux personnes âgées incapables de se déplacer au traditionnel repas des anciens !

Etrange que ce médecin de formation n'ait pas réalisé la stupidité du geste. Offrir un mètre de chantier à une personne de plus de 70 ans censée être immobilisée. Comme si "pépé" allait décider de refaire tout d'un coup sa toiture parceque le maire lui avait offert l'outil indispensable !!! Où on va ?

Après la chute de l'escabeau, le réconfort. Le docteur Juvin a pensé à tout. "Mamie", elle, a reçu du spécialiste en anesthésie générale un superbe "12 pcs set cup & saues saucers & spoons". Comme si à 70 ans et plus on n'avait pas déjà des armoires et autres buffets dégeulant de services à café de toutes les couleurs !

Le professeur Juvin et sa majorité municipale prendraient-ils les administrés (âgés) pour des cons ou auraient-ils tout simplement perdu le sens de la raison ? On se le demande.

En tout cas, ils prennent, ça c'est sûr, l'ensemble des contribuables pour des sots, des imbéciles à qui on peut faire gober qu'il n'y a pas d'argent pour le quotient familial (la jeunesse) et que les petits cadeaux du maire ne coûtent rien à la ville et qu'ils n'ont, E-VI-DE-MENT rien d'une démarche électorale. Le garennois est pris pour un vrai con, quoi !

Popularisés par la littérature d’exploration et d’aventure, en raison de leur technique de réduction des têtes, les indiens Jivaros font partie, aujourd’hui encore, des peuplades les plus sauvages d’Amérique du sud.

La sinistre réputation des Jivaros ne date pas de leur rencontre avec les blancs, puisque les Incas eux-mêmes les craignaient déjà. Non contents d’être de féroces combattants, ceux-ci décapitent leurs ennemis vaincus et réduisent leur tête jusqu'à ce qu’elle ne soit pas plus grosse que le poing.
Les incas finissent par gagner la guerre mais ne parviennent pas à soumettre complètement les Jivaros qui font désormais partie d’un petit groupe de cultures linguistiquement isolé. Ils vivent surtout de la chasse, de la pêche et de la cueillette.

Le grand guerrier est celui qui tue le plus d’ennemis. De chaque victoire il conserve un témoignage : une tête décapitée, puis réduite appelée tsantsa. Elle vise à faire en sorte que l’esprit du mort (muisak) ne revienne pas se venger de son meurtrier. Pour y parvenir, le guerrier qui a tué un ennemi doit accomplir un rituel complexe destiné à emprisonner l’âme du mort dans sa propre tête.

L’opération durera plusieurs jours, les paupières sont cousus pour que le mort ne puisse voir ce qui l’entoure, la peau racornie est teinte en noir afin que l’esprit du mort soit à jamais plongé dans l’obscurité. Les os du crâne, préalablement enlevés, les yeux et les dents sont jetés en offrande aux anacondas des rivières. Le tsantsa est enveloppé dans une toile puis conservé et le guerrier ne ressort la tête que pour la porter autour du cou lors des fêtes. Il n’a plus rien à craindre de la tête ou le muisak est définitivement enfermé. 

La fabrication des tsantsas
La tête est d’abord dépouillée de sa peau. Pour cela, le guerrier jivaro pratique une incision verticale au dessus de la nuque puis on sépare le cuir chevelu du crâne.
Ensuite, la peau est bouillie de telle sorte que les cheveux ne tombent pas. Le préparateur attend qu’elle ait réduit de moitié puis la retire de l’eau et la met à sécher. Après avoir gratté soigneusement la surface intérieure du derme, il coud les paupières et l’incision pratiquée au départ, de manière à ce qu’il ne subsiste plus que l’ouverture du cou tranchée et de la bouche.
Il introduit des galets brûlants qu’il fait rouler à l’intérieur pour que la tête ne se déforme pas au fur et à mesure que la peau se rétracte.
On brûle ensuite les poils du visage et on ligature la peau du cou avant de verser du sable chaud par la bouche pour achever le rétrécissement de la tête. Le sable refroidi est alors vidé, la peau teinte en noir et les lèvres cousues.

Le tsantsa, désormais, n’est pas plus gros que le poing. L’ensemble de l’opération a pris 6 jours.

Maurice est prêt à être exposé en salle du conseil ...

Maurice est le "petit nom" donné aux conseillers municipaux de la majorité à La Garenne-Colombes. Bouches cousues et cerveaux vidés, d'ex vaillants guerriers asservis votent désormais comme un seul homme, celui qui les a vaincus ...

Notre voisin, Louis Serge Real del Sarte sur son site, nous en dit un peu plus sur le dernier club garennois à la mode, le Club Synergie Entreprises.

Un club sponsorisé et physiquement hébergé par la municipalité de La Garenne-Colombes MAIS ouvert aux chefs d'entreprise qu'ils soient garennois ou pas.

Ce club étant ouvert à tous les chefs d'entreprise des Hauts-de-Seine, d'après monsieur Real del Sarte, nous espérons, en tant que contribuables garennois que le budget de promotion (édition, soirée de présentation, construction du site) sera partagé par toutes les villes des Hauts-de-Seine. N'est-ce-pas ?

Le Retour de Buzz reproduit ici le texte de présentation du club rédigé avec une syntaxe pour le moins approximative. Un texte tel qu'il figure sur le blog du Président Louis-Serge Real del sarte et sur le site officiel du club. Voir le site de Louis-Serge real del Sarte et le site de www.synergie-entreprises.com

Les objectifs de ce club sont :

1 - PARTAGER LES CONNAISSANCES ENTRE PROFESSIONNELS

2 - DEVELOPPER LE RELATIONNEL INTER-PROFESSIONNEL

3 - ENRICHIR L’INFORMATION SUR L’ENVIRONNEMENT DE L’ENTREPRENEUR

Nous vous présenterons toutes les manifestations concrétisant ses actions :

soirée speed dating, déjeuner d’affaires, rencontre en entreprise…. et partager un moment de convivialité à l’occasion du cocktail qui vous sera offert à l’issu de la présentation.

Née de la volonté de créer un réseau d'échanges dynamiques, cette association est ouverte à l'ensemble des dirigeants garennois et ceux des autres communes des Hauts de Seine.

 

Nota bene : nous recommandons aux chefs d'entreprise qui s'inscriront à ce club d'être vigilants quant à la qualité de la sécurité de l'organisation. En effet, Monsieur Louis-Serge Real del Sarte ayant été récemment victime d'un phishing qui a permis à son auteur de détourner les 180.000 contacts de son fichier, nous vous recommandons la prudence. Stocker autant de contacts dans un même fichier n'était pas raisonnable mais donner ses codes par mail c'est carrément stupide quand on connait un peu les dangers d'internet.

"On m'a demandé mes codes, je ne savais pas, je les ai donnés ..."

Franchement, à notre époque ... C'est le b.a.-ba

Le CV-video du président Louis-Serge Real del Sarte

"Expert dans les réseaux sociaux et le web"

* Speed dating : l'anglicisme speed dating signifiant littéralement « rencontres rapides » ou les « rencontres expresses » est une méthode de rencontres amoureuses rapides et en série.